La surface d’échange des plantes est très étendue, les échanges gazeux de CO2 et d’eau, entre l’atmosphère et les cellules des feuilles, se réalisent au niveau de structures microscopiques dans l’épiderme des feuilles, les stomates. L’action directe du soleil sur la face supérieure des feuilles peut entraîner des pertes d’eau excessives.
Comment la répartition des stomates de certaines feuilles permet l’approvisionnement en CO2 des cellules chlorophylliennes tout en limitant les pertes d’eau ?
Pour répondre à ce problèmes les élèves ont réalisés des empreintes de feuilles de laurier palme.